L’absence sans motif valable et sans aviser l’employeur est considérée comme une renonciation au travail, pour une personne reconnue comme « salarié » par l’entreprise. Les sanctions peuvent même être attribuées aux personnes impliquées. Cet article élargira votre compréhension de ce comportement, bon ou mauvais. Vous prendrez votre propre décision.
Conception et constatation
Tout d’abord, il faut savoir que la démission n’est pas un acte de démission : ce sont deux (02) actes juridiques complètement différents avec des qualifications et une portée différente. Il est important de souligner la nécessité de se donner la peine de faire connaître aux employeurs la différence entre ceux qui décident de démissionner et ceux qui décident simplement de ne pas participer. Sans tenir compte de la définition légale, une interruption soudaine et infructueuse de votre rendement au travail, en d’autres termes, une rupture de contrat, est similaire à un départ. Il s’agit de rupture de contrat parce que la personne n’a pas obtenu le consentement ou l’autorisation du supérieur.
L’employé s’est absenté subitement, volontairement, et surtout, aucune explication n’a été donnée. A ce stade, il est difficile de définir le statut exact du salarié, qui est empêché entre l’absence et la démission. Il est donc fortement recommandé à l’employeur de contacter le salarié afin de connaître le motif de son absence et de le remettre au travail. Si le salarié persiste à ne pas répondre pendant longtemps, l’employeur peut conclure qu’il s’agit bien d’un abandon. A défaut de manifestation claire et volontaire, le salarié ne peut être réputé démissionnaire. Il n’a pas été constaté que la démission implicite était confirmée par la loi, elle a donc une nature spécifique, c’est-à-dire l’abandon. Elle est définie comme le refus d’un employé de démissionner.
Les conséquences de l’abandon de poste pour les salariés
Un employé qui part peut-être licencier pour faute grave, c’est-à-dire licencié sans préavis ni indemnité. De plus, il percevra également des allocations de chômage.
Certaines entreprises peuvent penser que les employés ont démissionné. Dans ce cas, le tribunal a de nouveau qualifié la démission de licenciement abusif et n’a pas présumé la démission. Dans de rares cas, lorsqu’un employé démissionne d’un autre poste, le tribunal approuvera la démission.
En effet, il est difficile de reclasser les postes abandonnés. Cependant, si l’employeur se présente précipitamment et démissionne après quelques jours d’absence pour licencier le salarié ; et reprend le travail sans préavis ou prouve son absence, le licenciement peut être requalifié, surtout si l’absence est motivée.
L’abandon de poste et la requalification ?
En effet, il est difficile de reclasser l’abandon de poste. Cependant, si l’employeur se présente précipitamment et licencie le salarié sans préavis pendant quelques jours après l’absence du salarié, considérant le travail ou justifiant son absence, le licenciement peut être requalifié, notamment en justifiant l’absence.
De la même manière, il n’y a pas de licenciements de courte durée à des moments critiques ; ceux qui sont suspendus en raison de circonstances particulières ; ou en raison de la connivence de l’employeur, ils peuvent déposer une demande de licenciement. Dans ce cas, ils sont licenciés pour non-démission ; ils peuvent être requalifiés en licenciement abusif et les salariés peuvent percevoir des indemnités de préavis ; des indemnités de départ (calculées en fonction de l’ancienneté) et des dommages et intérêts pour licenciement abusif.
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